Quel chasseur en compagnie d’un acolyte trop exalté n’a jamais vu celui-ci se précipiter pour tenter de récupérer l’oiseau blessé qu’il vient de tirer, lequel n’étant que désailé, fuie en se faufilant dans les couverts. Le présomptueux, en piétinant l’endroit, en foulant la voie, en polluant la place de son odeur… en oublie qu’il a saboté le travail des chiens pourtant prêts à intervenir. Travail de recherche qui en sera rendu beaucoup plus délicat par la suite, voire impossible.
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