Quel chasseur en compagnie d’un acolyte trop exalté n’a jamais vu celui-ci se précipiter pour tenter de récupérer l’oiseau blessé qu’il vient de tirer, lequel n’étant que désailé, fuie en se faufilant dans les couverts. Le présomptueux, en piétinant l’endroit, en foulant la voie, en polluant la place de son odeur… en oublie qu’il a saboté le travail des chiens pourtant prêts à intervenir. Travail de recherche qui en sera rendu beaucoup plus délicat par la suite, voire impossible.
Quel conducteur de chien n’a jamais douté de son courant se récriant sur une voie totalement improbable. Mais alors que celui-ci relance l’animal de chasse allègrement, on se dit m…. il avait raison. Quel conducteur de chien n’a jamais douté de son couchant qui coule indéfiniment sur un gibier fantôme. Mais quand il se bloque soudain d’un arrêt de marbre, qu’il vous attend et qu’une compagnie de faisans roublards explose à quelques mètres de son nez, ébahi vous êtes, et reconnaissant.
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