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Les trois ou quatre cafés du village, autres lieux de convivialité, accueillaient ceux qui préféraient la belote à la messe. Début septembre, l’église, comme les cafés, voyaient soudain leur fréquentation considérablement diminuer. On entrait en période de chasse et la chasse à la campagne, c’était sacré !
Il y avait dans chaque famille au moins un chasseur, ceux qui ne chassaient pas, traquaient et, ceux qui ne traquaient pas préparaient le grand repas de chasse. L’ouverture était un événement remarquable dans la vie du village et le Président de la société de chasse communale était une notabilité respectée, au moins autant que le maire, le curé, l’instituteur, ou le garde champêtre.
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