Le Brevet International de Chasse Pratique le BICP

Le Brevet International de Chasse Pratique

Le Brevet International de Chasse Pratique : le BICP

Le Magazine du chien de chasse N°7

Le BICP est comparable à l’image de la chasse pratique, ce qui le rend accessible à tout chasseur sachant manier au minimum les notions de dressage.

Le Club Français des Epagneuls de Münster et du Langhaar est à l’origine de cette épreuve par l’intermédiaire de Raymond Ohl, alors président du club, qui  s’était inspiré de la HZP allemande. La HZP est une épreuve qui doit prouver la précocité et l’aptitude au dressage du jeune chien. Il a adapté cette HZP à la française afin que les épagneuls allemands du Club Français puissent se confronter avec leurs homologues germaniques. Malheureusement, le club allemand n’a jamais reconnu cette épreuve pour sa sélection.

Le Brevet International de Chasse Pratique, explique Bernard Brenuchon, juge de travail, « est une épreuve de chasse pratique. Si cette épreuve est organisée dans les conditions demandées par le règlement, sur des terrains de chasse pratique et sur un plan d’eau permettant au canard de se défendre, c’est l’épreuve démontrant les compétences polyvalentes de nos chiens d’arrêt. Le BICP s’est progressivement démocratisé pour intéresser tous les clubs de races continentales et est reconnu actuellement par la FCI et donc la CUNCA.

Je crois fermement que seuls les chiens ayant concouru sur cette épreuve et ayant obtenu une première catégorie devraient pouvoir prétendre au titre de champion et cela toutes disciplines confondues. Ceci nous éviterait bien des déboires lors de la sélection pour les divers championnats.

En plaine

 L’épreuve en plaine devrait représenter une épreuve de gibier tiré en prenant en considération la sagesse à l’envol et au feu dans la partie obéissance afin de ne pas pénaliser les chasseurs qui ne sont pas intéressés par le fait d’obtenir le titre de champion de travail. Cette épreuve peut se dérouler sur tout territoire de chasse, y compris au bois. Tous les gibiers chassables seront pris en compte pour le total de points en fin de journée. Le manque de gibier naturel fait que les terrains sont préparés par les tireurs avant le passage des concurrents. L’idéal est la pose de 2 faisans par chien inscrit au brevet ; en effet, les perdreaux se rassemblant assez facilement en compagnie après quelques heures sur les terrains sont inadaptés pour la circonstance.

Photos : J Riga

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