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C’est en 1898 qu’il fut question pour la première fois, dans une publication cynégétique française du braque bleu d’Auvergne. Dans le numéro d’avril, de « l’Eleveur », J de Coninck, en donnait la première description. Ce commentaire était accompagné du portrait d’un chien nommé Bruno. Il y était décrit comme un « grand chien, à grandes plaques d’un noir bleu avec le reste du corps truité noir sur blanc, formant une teinte bleue, sans aucune tache de feu ».
Les arrêts : un spectacle magnifique
Sélectionné pour la chasse, le braque d’Auvergne a su conserver intactes bon nombre de qualités que lui ont transmis les précurseurs de la race.
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