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Si pendant des décennies, le Fox Terrier représentait l’archétype des terriers de travail, depuis une vingtaine d’années, le Jack Russell est venu le bousculer. En particulier, grâce à sa polyvalence, sur et sous terre. Son caractère n’a rien à envier à ses cousins Fox ou Jadg. Les anecdotes sont nombreuses sur son tempérament et son assurance « tous risques » : lors d’une sortie de chasse, il n’est pas rare qu’un Jack reste au fond du terrier une journée et plus tant que le nuisible est face à lui. Renard, blaireau, rien ne le rebute dans un terrier.
Du divan au terrier
L’envers de la médaille, c’est qu’il n’est pas du genre à reculer et parfois l’affrontement au fond du terrier peut malheureusement s’avérer dangereux pour lui. Les blessures se terminent en chirurgie. Mais ce n’est pas ce qui est recherché pour la sélection. Le Dr Lebrun, fondateur du club, insiste sur ce point : « Pendant longtemps, les anglais réunissaient Parson et Jack sous la même bannière, celle des Russell Terriers.
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