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Comment est née votre passion pour la chasse et le chien ?
Comme pour beaucoup d’enfants, l’environnement familial a été déterminant. Mon grand-père, mon père, mes oncles étaient tous aussi passionnés les uns que les autres, tous fins connaisseurs de la chasse et de la nature. L’initiation se fait naturellement au fil des sorties : on commence par porter le carnier (rarement vide à l’époque), on s’équipe de ses premières armes (un lance-pierre), on se laisse fasciner par le travail des chiens… et le virus vous empoigne comme ça, imprègne vos pensées, génère mille rêves, mille ambitions… avec l’espoir secret que peut-être un jour, l’élève dépassera les maitres.
Sur quelle race de chien votre choix s’est-il porté et pourquoi ?
Familier des chiens couchants, mon premier choix fut un Setter anglais, « Elvis du Val Clair ». J’étais subjugué par l’esthétisme et la vitesse de la race. Ce bouillant britannique excellait sur les rouges alors nombreuses sur nos territoires environnants. C’est également en compagnie de ce chien d’exception que j’allais découvrir les joies de la chasse aux longs becs. Avec mon père, mon frère, nous avons eu par la suite jusqu’à quatre Setters anglais que nous découplions ensemble. Comment rêver plus beau spectacle que de voir ces quatre compagnons simultanément statufiés devant une compagnie d’oiseaux qu’on devine, là, et qui dans un instant encore indéfini mais imminent, va prendre son essor.
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