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En France, si l’on aborde le sujet Retriever chasseur, certains esquissent un sourire, d’autres soupirent mais quelques irréductibles, qu’ils soient éleveurs, dresseurs ou de simples amateurs, s’évertuent à prouver que le Retriever demeure un chien de chasse et que ses aptitudes se sont retransmises au fil des dizaines de générations de sélection représentant plus d’un siècle d’élevage contrôlé. Sur le terrain, en France mais également au Royaume-Uni, très clairement, le Labrador et le Golden représentent l’essentiel de l’effectif… et pourtant, les autres Retrievers ne manquent ni de nez, ni d’envie, ni de « Will to Please ».
Point de vue
Un amateur, le Vicomte A. de Quénétain, un des pionniers du Golden en France, écrivait en 1935 : « D’abord, tous les gardes-chasses anglais possèdent un ou plusieurs Retrievers, élevés et dressés par eux, et quand une chasse est donnée sur une propriété, le garde-chef a soin d’inviter les gardes voisins leur demandant d’amener leurs Retrievers pour ramasser le gibier tiré. Inutile de dire que ces chiens sont tous parfaitement sages, et que chaque tireur se trouve accompagné, pendant toute la chasse d’un garde avec un ou plusieurs Retrievers, pour ramasser le gibier tué ou blessé. Les rabatteurs ne s’en occupent pas. On peut se rendre compte de la quantité énorme de gibier qu’on évite de perdre pendant une journée de chasse aux faisans, un tableau de 500 oiseaux n’étant pas rare dans ce pays ».
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