Le teckel, chien de sang

Recherche au sang : Le teckel, chien de sang

Le teckel, un chien de sang

Le Magazine du chien de chasse N°9

Charly Jegou pratique la recherche au sang depuis maintenant  plus d’une vingtaine d’années. Installé dans le département de l’Aude, Il a dressé un grand nombre de chiens à cette discipline exigeante et difficile. Pour Le Magazine du Chien de Chasse, il a accepté de relater son expérience et plus particulièrement celle acquise auprès de la race des Teckels.

Je tiens à souligner avec clarté que les lignes qui suivent ne sont pas un plaidoyer pour une utilisation systématique de cette race dans l’objectif de rechercher des animaux blessés quand bien même elle représente la proportion la plus importante dans les races utilisées (253 teckels sur 710 chiens répartis en 26 races, statistiques UNUCR 2015).

Le choix d’une race de chien est une affaire complexe où le rationnel et le subjectif interviennent dans des proportions multiples selon les utilisateurs.

Avant de fixer son choix il serait raisonnable d’aborder la réflexion par l’examen objectif de quelques critères :

  • Le biotope majoritaire du territoire : plaine, montagne, marécages, densité du couvert, etc…
  • Gibiers les plus représentés localement,
  • Méthode de recherche : lâcher le chien ou pas,
  • Conditions d’accueil du chien : maison, appartement, terrain ou pas,
  • Comportement du chien : agressivité ou pas devant le gibier, rapidité à la course, chien calme ou tonique ;

On pourrait rajouter d’autres critères à cette liste…

L’autre aspect du choix porte sur l’affinité que le conducteur ou le futur conducteur peut ressentir à l’égard d’une race particulière. Certaines personnes sont des inconditionnelles des grands chiens ou sont amateurs de chiens à poil dur, d’autres apprécient des races de chiens d’arrêt ou de terriers. Toutes les préférences personnelles sont respectables.

Je me garderai de me prononcer sur le choix de telle ou telle race pour le compte d’autrui, car la première condition pour avoir un bon auxiliaire c’est de l’aimer et pour cela le coup de cœur est indispensable dès le départ. Mais le choix se complexifie par l’absence d’homogénéité systématique des sujets au cœur d’une même race. D’où la nécessité d’examiner attentivement les lignées.

Photos: DR

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