Sommaire de l’article
Que dire de ce petit braque qui a bien failli disparaitre à l’orée des années 50. Pourtant, il fait partie du paysage des races de chien d’arrêt français depuis des lustres. Au début du 20ème siècle quelques sujets originaires de l’Allier sortent en concours. Je pense notamment au seul trialer de l’époque, Dogue de La Aulx, qui se distingue aussi bien en exposition qu’en field trial. A cette période, les chiens d’arrêt d’origine française sont réunis au sein de la RACAF (Réunion des Amateurs de Chiens d’Arrêt Français).
Ce contenu est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour lire l'intégralité de l'article.