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Il fallait s’y attendre : une semaine auparavant une épreuve de grande quête organisée sur la commune de La Cheppe, dans la Marne avait été compliquée, voire gâchée par les champs de colzas triple XL qu’il avait fallu contourner au fil de parcours souvent interrompus et dont l’épaisse et vaste couverture n’était pas sans rapport avec le peu de perdreaux qu’on avait pu rencontrer. Cela avait convaincu Pascal Burlat de ne pas prendre le risque d’y installer une batterie de l’Open quitte à l’éloigner des environs de Chalons.
Outre les colzas, inutilisables et désormais en fleurs, les blés aussi étaient exagérément hauts et touffus dans certains secteurs, ce qui compliquait l’installation des chiens sur le vent et les égarait dans l’espace, en particulier les plus valeureux d’entre eux. Le comportement des perdreaux face à la prédation en était également modifié : empêchés dans le contrôle visuel de leur environnement et les lignes de fuite qu’il leur dictait jusque-là, ils avaient tendance à rester blottis dans leurs gîtes de verdure et à laisser passer les hommes et les chiens de grand train…
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