L’alternance devient de plus en plus compliquée et se réduit à un coup au nord, (betteraves) et un coup au sud, (bois). Si l’on tient compte du fait que les territoires se réduisent en termes d’organisation on tourne en rond avec celles qui acceptent l’événement parce que la CUNCA propose et les heureux élus disposent et s’engagent. Heureux, pas forcément totalement à cause des contraintes plus importantes qu’un Open exige. Cette année par exemple il aura fallu 16 juges par jour qu’il faut loger, nourrir, mais pas encore, blanchir. Une infrastructure qui tienne la route est donc obligatoire et sa mise en place étudiée longtemps à l’avance.
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