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Que dire de ce petit braque qui a bien failli disparaitre à l’orée des années 50. Pourtant, il fait partie du paysage des races de chien d’arrêt français depuis des lustres. Au début du 20ème siècle quelques sujets originaires de l’Allier sortent en concours. Je pense notamment au seul trialer de l’époque, Dogue de La Aulx, qui se distingue aussi bien en exposition qu’en field trial. A cette période, les chiens d’arrêt d’origine française sont réunis au sein de la RACAF (Réunion des Amateurs de Chiens d’Arrêt Français).
Des clubs spéciaux voient le jour pendant l’entre-deux guerres, dont le Club du Braque du Bourbonnais fondé en 1919. A cette période, les dresseurs ont pour nom Ridet avec Ludovic – Président de l’Association Professionnelle des Dresseurs de Chiens d’Arrêt – Raoul, Marcel et Léon, la famille Herbelin, Husson (De Preuilly) etc… Quelques braques du Bourbonnais passeront entre leurs mains au sein de leurs écuries composées majoritairement de Britanniques (Pointers et Setters).
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