Les années de mauvaise reproduction sont caractérisées le plus souvent par une forte pluviométrie en fin de printemps et début d’été. De façon générale, les conditions météorologiques ont été largement pointées comme un facteur majeur influençant la reproduction. Cela peut être de façon directe par exemple en cas de froid lors des éclosions et/ou indirecte par exemple en cas d’abondance en insectes. D’autres facteurs tels que le sol, l’état de la végétation, la qualité de l’habitat, l’abondance des prédateurs entrent en ligne de compte.
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