Pour essayer ce break de chasse, nous sommes allés en Sologne chez Cécile et sa fidèle femelle Cocker « Fidji »,
toutes deux passionnées de chasse. Cécile, cadre commerciale, se rend tous les jours en voiture chez ses clients, en ville ou à la campagne. Et comme chasser est sa passion, elle a décidé de joindre l’utile à l’agréable en roulant dans un véhicule petit pour la ville, et pratique pour amener Fidji à la chasse au lapin, ou tout simplement se dégourdir les roues, les jambes et les pattes en forêt.
« J’aime ce coté robuste et attachant», nous dit Cécile, « Fidji aussi l’adore car comme l’habitacle est petit, elle est tout près de moi quand je conduis ! »
A bord, Cécile se satisfait de l’équipement offert par le Jimny, l’essentiel y est : climatisation (manuelle), vitres et rétros électriques, direction assistée et centralisation. Mais la dotation ne s’arrête pas là car Cécile nous signale en plus les airbags frontaux, le contrôle de stabilité (ESC), ainsi que de pression des pneumatiques (TPMS). Enfin, le couple de 110 Nm s’exprimant haut dans les tours (4100 tr/mn, tout de même…), Cécile a préféré l’option boîte auto, pour ne pas avoir à constamment changer de rapports quand elle visite ses clients urbains, … et c’est tellement idéal pour se maquiller d’une main pendant que l’autre tient le volant !…car on a beau être chasseuses, on n’en est pas moins féminines, n’est-ce pas Fidji !?
Avec tout l’équipement cité, dont la boîte auto, le Suzuki Jimny s’adjuge à 17800 €. Mais l’entrée de gamme débute à 13800 €, ce qui en fait le break de chasse 4 roues motrices le moins cher du marché. Le Jimny n’est désormais disponible qu’en version essence, 1,3 l pour 85 ch, ce qui est suffisant compte tenu d’un poids de seulement 1060 kg. Il est difficile de descendre sous les 8 litres /100 km en conduite mixte, et sous les 10 litres en tout-terrain.