Des lâchers d’été significatifs en oiseaux ont été réalisés sur ce secteur quelques semaines auparavant. Il avance droit, allant d’une bordure à une autre ou vers les quelques haies qui résistent encore. Les couverts convenables y sont rares, souvent clairsemés et appauvris par la rigueur de l’été.
Voilà le genre de scène qui laisse songeur de nos jours. Mais oui bien sûr « le chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien » Admettons ! Mais tout de même, remercions le ciel de nous avoir donné le virus cynophile, au moins celui-là ne fait pas le malheur de l’humanité. Sans lui, nous ne connaitrions jamais les plaisirs de la quête, du coulé, de l’arrêt, du rapproché, du lancer, de la menée et ses récris, du rapport… tout juste en serions-nous réduits à l’acte de débusquer et de tuer !
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