A l’origine, elle était réservée aux seuls pointers qui, après être nés et avoir fait leurs armes dans les moors écossais, avaient révélé leur véritable personnalité dans les plaines du continent avec « leurs lignes d’éphèbes combattant et de discoboles antiques » (G.Colombo) au service de performances athlétiques uniques, d’une audace et d’un sens inné de l’essentiel, fruit d’un rapport singulier avec le vent, les grands espaces et les perdrix.
Leurs qualités sportives et esthétiques dépassant dès lors l’exercice de la chasse des tétraonidés et d’autres oiseaux mordorés et mimétiques, dans un milieu certes vaste mais humide, couvert, voire rébarbatif, qui était et demeure, qu’on le veuille ou non, le domaine d’élection des setters, de leur quête ondoyante et de leur souci génétique du détail, il était normal que leur sélection passe par les épreuves de grande quête dont les règles furent d’ailleurs fixées à leur intention.
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