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Après être passé devant la « venta Andres », grand bar à tapas bien connu des cynophiles habitués des lieux où se faufile sans discontinuer entre les étals d’oranges, de miel et d’asperges sauvages installés devant l’entrée une foule d’andalous endimanchés de tous les âges, je rejoins Antony sur la « finca » où il entraîne dans les premières lueurs du couchant.
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