Sommaire de l’article
Il fallait un esprit analytique et une puissance de déduction pour admettre qu’un gros gibier soit passé à tel endroit avant de faire lancer tout un équipage à ses trousses.
Il fallait avoir le sang froid dans le raisonnement, cela ne pouvait venir que de la connaissance et l’interprétation de la lecture de son limier. Le chien limier était employé pour déceler la présence du passage du gibier. Pour rembucher un animal selon l’art de la vénerie française, il fallait être trois, l’animal d’abord, le chien limier, et l’homme valet de limier ensuite.
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