Clément va devoir user de toute sa diplomatie pour rattraper le coup. Surtout que deux volières utilisées pour le repeuplement d’été y ont été construites récemment. Comme la poisse n’arrive jamais seule, le technicien de la fédération vient de l’informer que les subventions pour les repeuplements seront à l’avenir attribuées sous conditions d’aménagement de territoire. Là encore, il va devoir convaincre les agriculteurs. A moins que la grippe aviaire ne s’en mêle de nouveau… et là, plus rien ne serait sans doute possible.
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