Pour tenter d’y remédier, pas de miracle, on connait les deux leviers possibles : la reconquête de la biodiversité avec la restauration des habitats ; le repeuplement en certaines espèces autochtones comme les perdrix, voire en d’autres comme les faisans, exotiques mais acclimatées depuis longtemps à nos territoires.
Compte-tenu de la grande difficulté à agir sur le premier – surtout dans le contexte agricole actuel – et bien qu’il soit le levier prioritaire, beaucoup d’entre les chasseurs sont tentés de se tourner exclusivement vers le second. Il s’agit de repeupler en nombre de manière à implanter de nouvelles souches d’oiseaux. Mais avec quoi ? Qu’ont-ils d’autre à disposition que le gibier d’élevage ? Et une fois sur le terrain, comment celui-ci, du jour au lendemain, peut-il résister à la menace de la mécanisation agricole et des prédateurs sauvages ?
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