Depuis des décennies, la formulation est immuable. Pour l’avoir entendue maintes fois, je ne peux m’empêcher de repenser à ces dimanches d’ouverture d’il y a cinquante ans, la réponse a tellement évolué au fil des années.
Plus de chiens courants !
Avec mon compagnon d’escapade lors de la dernière ouverture générale, nous nous demandions si d’autres que nous étaient bien en action sur la communale. Nous sommes restés longtemps, longtemps, sans entendre le moindre coup de feu. Mais que se passe-t-il donc ? Est-ce bien aujourd’hui le grand jour ? La mélodie des chiens courants a aussi disparu de nos campagnes (dans ma commune, j’étais le dernier à en posséder). Depuis que le lapin de Garenne a rejoint le mammouth au rang des espèces disparues et que les populations de lièvres alternent le rare et l’insuffisant, les plus obstinés des chasseurs de petit gibier au chien courant ont fini par capituler. Avec l’abandon de ce type de chasse, c’est aussi les cris des meneurs, les sérénades de coups de pibole qui se sont tus… définitivement.
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