Ainsi la robe peut-elle être unie, bicolore, tricolore, bringuée, bigarrée, charbonnée, merle, ombrée, panachée, parsemée, rouannée, tiquetée, truitée, lisse, plissée… autant de qualificatifs pour la décrire précisément. Pour la plupart des races, cette diversité est venue enrichir significativement un patrimoine canin déjà remarquable, et par conséquent élargir l’offre du choix.
Cette apparence visuelle peut être déterminante au moment de sélectionner un chiot dans une portée par exemple. Des maitres veulent un Beagle, un Setter anglais, ou encore un Labrador… avec parfois un souhait de couleur bien arrêté. Le critère est sans doute subjectif, relatif à chaque perception personnelle, mais tout le monde ne peut flasher sur une seule et même esthétique. J’ai connu deux amis associés dans un même équipage, lesquels chassaient le lièvre à courre avec des Beagles. Ils avaient chacun leur chenil. Tous deux avaient un faible pour les bicolores, mais l’un ne gardait que les blancs et fauves, et l’autre que les noirs et fauves.
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