Avec les ratiers, bassets et autres petits courants de tout poil, il était relativement facile de les contenir. Mais voilà, ces temps sont révolus. Beaucoup de haies ont disparu, les lapins avec, et les chasseurs d’aujourd’hui ont dû se tourner vers des gallinacés variées, plus propices aux lâchers de tir et de repeuplement. Cette nouvelle orientation de la chasse a vu s’imposer des races de chien adaptées, plus nobles, plus pures, plus sélectionnées. Et force est de constater sur le terrain que le plus grand nombre a fait le choix du chien d’arrêt : épagneuls, braques, setters… Mais ce choix est-il toujours bien pertinent ?
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