Springers Spaniels (détail d’une toile de Reuben Ward Binks 1880 a 1950). © DR
Le chien de chasse, indépendamment de sa beauté, de sa forme, de sa vivacité, de sa force, de sa légèreté, avait par excellence toutes les qualités intérieures qui permettait d’attirer le regard de l’homme. C’est à dire par sa douceur, son talent et sa fidélité. C’est pourquoi l’homme a fait du chien un auxiliaire précieux à la chasse, et il l’a étudié sur tous les plans, faisant de cette étude une science appelée cynologie.
Mr. Pierre Mégnin en 1883 et M.M De Mersan dans son petit traité de vénerie de 1835, ont rédigé quelques paragraphes intéressants. D’autres cynophiles d’une période plus reculée, ont écrit des traités illustrés de peintures médiévales très explicites sur l’intérêt porté au chien. En voici un recueil intéressant.
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Jean-Hugues Decaux