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En Serbie c’est toujours le paradis, aux dires de ceux qui y vont, et il faut les croire. Le perdreau est gris mais pour passer les frontières il vaudrait mieux être héliporté plutôt que de rouler car le racket est toujours de mise et en augmentation.
Que les chiens soient en règle ou pas, c’est le cadet des soucis des douaniers dont le rôle est de vous faire perdre du temps si vous ne voulez pas payer pour passer. Après la pénibilité de route qui ne rend pas forcément les esprits sereins il faut rester zen, le but essentiel étant d’arriver vite quand on y va et de rentrer vite quand on en revient.
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