Sommaire de l’article
Si le Drahthaar – surnommé le Braque allemand à poil dur – demeure le chien de chasse n°1 outre-Rhin – en France, le Braque allemand a toujours représenté l’archétype des Braques et a su, depuis la Libération, s’imposer sur tous les terrains. Les Américains le surnomment « le Pointer allemand ». En l’espace de 120 ans, le type a évolué, passant d’un chien lourd presque « viandeux » – à l’image de Hektor 1 qui inaugura le livre d’élevage en 1872 – à un athlète extrêmement polyvalent et rapide sur le terrain. Pour les responsables de l’élevage actuel, le Braque allemand peut être résumé en quelques mots : « Noble, polyvalent, fiable et facile d’entretien ».
Le pic dans les années 70/80
Avant les années 50, il demeurait relativement rare dans l’hexagone. Ce n’est que dans les années 60, qu’il voit ses effectifs croître de manière sensible, le hissant à la 2ème place des continentaux… derrière l’Epagneul Breton. Par exemple, en 1969, 1420 Braques allemands sont inscrits au LOF contre 3039 Epagneuls Bretons. La même année, le Pointer affiche 1140 inscriptions et le Setter Anglais, 1583. Les années qui suivent, le Braque allemand voit la demande progresser… et les naissances suivent le rythme : le pic est atteint au cours de l’année 1978 avec 3409 chiots inscrits au LOF !
Ce contenu est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour lire l'intégralité de l'article.
ABONNEMENT
✓ Accédez à l'intégralité des contenus de site✓ Plus de 300 articles.
✓ Contenu sans publicités
✓ Renouvellement automatique
ACHAT À L'UNITÉ
✓ Accès permanent à cet article.✗ Accédez à l'intégralité des contenus de site.
✗ Contenu sans publicités.
✗ Renouvellement automatique.