Sommaire de l’article
C’est par ce rituel de convivialité et de causerie banale qu’ils s’imprègnent de l’air ambiant, se familiarisent doucement avec l’atmosphère du jour, avant de plonger dans l’imprévisibilité des sorties de chasse, sans laquelle celles-ci perdraient probablement tout leur charme.
Ce matin la grisaille a remplacé les gelées de ces derniers jours et un petit vent de Sud-Ouest disperse le brouillard en bruine légère. D’un commun accord, ils ont décidé d’aller visiter les secteurs à bécasses. Il ne s’en voit guère ces temps-ci, mais qui ne tente rien n’a rien. Les deux bois qu’ils comptent explorer sont distants d’environ cinq cents mètres : l’un s’étire sur un coteau bien pentu en bordure d’un ruisseau ; l’autre, plus plat et en promontoire, fait la transition avec un vaste secteur de plaine.
Ce contenu est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour lire l'intégralité de l'article.
ABONNEMENT
✓ Accédez à l'intégralité des contenus de site✓ Plus de 300 articles.
✓ Contenu sans publicités
✓ Renouvellement automatique
ACHAT À L'UNITÉ
✓ Accès permanent à cet article.✗ Accédez à l'intégralité des contenus de site.
✗ Contenu sans publicités.
✗ Renouvellement automatique.