Mieux vaut un ou deux chiens qu’une meute… ou l’inverse. Nul ne saurait être catégorique tant le sujet est complexe. Il faut aussi considérer deux aspects : celui du travail que cela implique, et celui du résultat obtenu. Quoi qu’il en soit, dès que vous adjoignez un chien à un autre sur un terrain de chasse, ceux-ci perçoivent parfaitement que cela change la donne dans la tâche qui leur est confiée. Car dès lors, c’est un partage qui leur est imposé, lequel va forcément influer sur leur comportement.
Dans le meilleur des cas (peu probable), tout le monde trouve sa place et les compétences de chaque individu s’expriment dans une certaine émulation. Dans le plus mauvais, avec des chiens moins partageurs, des tempéraments dominants et dominés, des jaloux, des indépendants, des rebelles, les qualités de certains sujets peuvent être annihilées, ou inhibées… jusqu’à l’incompatibilité d’association. Sans parler des défauts rédhibitoires. Ce qui impose une sélection stricte, du dressage complémentaire, voire des compromis…
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